Assurance contre la Fraude
Protégez-vous contre tous types de fraudes
L'abus de confiance, l'escroquerie, l'arnaque, les faux et usage de faux, la contrefaçon ou la falsification de chèque et l'appropriation frauduleuse.
La fraude est omnipésente
Si les fraudes ont toujours été un risque inhérent aux entreprises, jamais celui-ci n’a été aussi omniprésent. La multiplication des informations disponibles sur internet et des intranets d’entreprise ont permis l’émergence de nouvelles fraudes, particulièrement efficaces sans procédure interne adaptée. Ainsi selon une étude de 2016, 68% des entreprises françaises déclarent avoir été victimes d’une fraude au cours des 24 derniers mois (seulement 29% en 2009 !).
Les conséquences peuvent être grave
Parmi ces entreprises 56% ont reporté un détournement d’actifs, 53% un acte de cybercriminalité (seulement 28% en 2014), 25% une fraude aux achats. 14% de ces fraudes concernent des sommes supérieures à 1 million d’euros (la taille de l’entreprise ayant une incidence beaucoup plus faible que l’on pourrait penser sur ces montants) (PwC, 2016).
Vous pouvez anticiper
Bien que certaines fraudes particulièrement astucieuses ou faisant suite à une intrusion dans le système informatique sont quasi-inévitables, la grande majorité peut être évitée par la mise en place, et le respect, de procédures de contrôle interne strictes. Malheureusement 68% des entreprises françaises ne disposent pas de plan d’urgence à activer en cas de fraude, 58% déclarent de même ne pas connaître les solutions d’assurance contre le risque de fraude (DFCG & EH, 2016).
Couvert contre les fraudes
Tous les types de fraude
Ces solutions s’adaptent à la réalité du terrain : elles couvrent aussi bien les fraudes commises par des personnes tiers ou des fournisseurs (55%) que celles commises par un employé, cadre ou dirigeant (30%) ; les 15% restants correspondant à des actes dont l'origine est indéterminée (PwC, 2016). Tous les types de fraude sont pris en compte.
Abus de confiance
Le détournement, par exemple, d’une somme d’argent (ou autre bien) par une personne de confiance.
Arnaques
Par exemple, l’escroquerie qui consiste à se faire passer pour un prétendu dirigeant.
Falsification de chèque
Réaliser, faire usage ou accepter (en connaissance de cause) un chèque faux ou falsifié.
Escroquerie
Escroquerie en « col blanc » notamment (système de Ponzi, criminalité organisée, usurpation d’identité…)
Faux et usage de faux
Envoi aléatoire de fausses factures, imitation de documents administratifs officiels…
vol
Appropriation frauduleuse d’un bien, au sens large du terme : détournement de fonds, espionnage industriel cambriolage…
Exemples de sinistre
La responsable administrative et financière de la filiale polonaise d’une entreprise de prêt-à-porter reçoit un appel qualifié d’urgent. La personne au téléphone se présente comme un des dirigeants du siège, et somme la responsable de réaliser un virement vers un compte à l’étranger, pour soi-disant permettre de conclure un accord commercial majeur. Bien évidemment la personne au bout du fil est en réalité un escroc ayant recueilli de nombreuses informations sur l’entreprise (identités, responsabilités, absences, process internes, …) au cours des derniers mois. La responsable, méfiante au début, finit par réaliser le virement, convaincue quand la personne au téléphone l’a menacé de prévenir son supérieur hiérarchique, parti en vacances pour la semaine. La somme versée est instantanément divisée et envoyée sur plusieurs comptes basés dans des pays peu contrôlés.
La comptable d’une des filiales étrangères d’une société de fabrication et de distribution de produits alimentaires, augmente indûment le montant de ses rémunérations. Cette fraude régulière, se prolonge sur une durée de sept ans. Ces détournements lui permettent l’acquisition de vêtements de luxe, de voitures de sport, de voyages, d’un bateau et d’une propriété. Lors d’un audit interne diligenté par la société mère, la fraude est découverte. Un enquêteur ainsi qu’un avocat sont missionnés afin de permettre d’apporter les preuves contre la comptable. L’employeur ne parvient à récupérer qu’une partie des sommes détournées.